Il est aussi connu sous le nom de Sieur Charles Le Vasseur de Bagaret 1. Il est aussi connu sous le nom de Sieur Charles Le Vasseur de Boussouelle 1. Il est aussi connu sous le nom de Sieur Charles Le Vasseur de Ruessavel 1. Il est aussi connu sous le nom de Charles Levasseur 2, 3, 4, 5.
Il est le fils de Jean Levasseur dit Lavigne 2, 3, 4, 5 et Marguerite Richard 2, 3, 4, 5.
Il naît le 7 avril 1665 à Québec, Capitale-Nationale, Québec, Canada 1, 6, 7, 8. Il est baptisé le 7 avril 1665 à Notre-Dame, Québec 5. Il décède le 4 septembre 1704 de la fièvre jaune 1.
François Thibaut, Charles Levasseur, Marie-Thérèse Levasseur, Ursule Levasseur, Jean-François Levasseur, Anne Levasseur, Louis Levasseur, Noël Levasseur, Angélique LeVasseur, Marguerite Richard et Jean Levasseur dit Lavigne résident à Québec en 1666 3. Anne-Félicité Levasseur, Charles Levasseur, Marie-Thérèse Levasseur, Ursule Levasseur, Jean-François Levasseur, Anne Levasseur, Louis Levasseur, Noël Levasseur, Angélique LeVasseur, Marguerite Richard et Jean Levasseur dit Lavigne résident aux côtes de Sainte-Geneviève, Saint-François ou Saint-Michel, Québec, Québec en octobre 1667 9. Jean Levasseur dit Lavigne vend un emplacement de sept toises de front à la haute ville de Québec à Charles Levasseur le 20 août 1686 par devant Sieur Pierre Duquet de la Chenaye 5. Martial Paschal dit Brisefer est soldat de Charles Levasseur 1, 10. Il et Germain Delané sont soldat 1, 11. Jean Pierre Payement dit Laforest est soldat de Charles Levasseur 1, 12. Charles Levasseur est major du fort Maurepas en 1699 à Ocean Springs, Mississipi, États-Unis 1. Charles Levasseur est le fondateur du fort Louis de la Mobile de 1701 à 1702 en Alabama, États-Unis 1.
Pierre Drollet, Anne-Félicité Levasseur, Charles Levasseur, Angélique LeVasseur, Marguerite Richard et Jean Levasseur dit Lavigne résident à Québec en 1681 4.
Charles Levasseur (1665 - 1704) | Jean Levasseur dit Lavigne (1622 - 1686) | Noël Levasseur ( - 1646) |   |   |
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Geneviève Gaugé ( - 1646) | Gilles Gaugé |   | ||
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Jeanne Beaudelet |   | |||
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Marguerite Richard (1630 - 1708) | Nicolas Richard ( - 1646) |   |   | |
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Jeanne Bonnet ( - 1646) | François Bonnet |   | ||
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- Note de bedard_natalie at yahoo dot ca du 2018-01-14 20:02:59 (Cliquez pour voir le texte)
«soldat de Levasseur» # 84162
=
soldat de ce «Charles levasseur» # 27422
___________________________________
copié-collé de : militaires.levasseur.org
Charles LEVASSEUR (1665-1704) (J)
Charles Levasseur est né, le 7 avril 1665 à Québec, de Jean Levasseur dit Lavigne — le premier Levasseur à s’être établi en Nouvelle France — et de Marguerite Richard. Charles fut attiré très tôt par la carrière militaire et il recevait ses nominations de Paris où on connaissait sa valeur. On l’appelait parfois « Charles Le Vasseur, sieur de Bagaret », ou, plus souvent, « Charles Le Vasseur de Boussouelle » , ou « Ruessavel »(1) ; dans tous les cas, on le reconnaissait toujours comme un « officier canadien ». Il avait le goût d’explorer le nouveau monde et semblait fasciné par le Mississippi. Après avoir été compagnon de Cavelier de La Salle, dans sa découverte du Mississippi, il a été nommé pour accompagner Pierre Le Moyne, sieur d’Iberville, dans l’établissement de la première colonie française permanente en Louisiane.(2)
Le Fort Maurepas (ou « Vieux Biloxi »)
L’expédition quitta La Rochelle, en septembre 1698, et arriva dans la baie de Biloxi, en février 1699. Le Moyne chercha longtemps un lieu pour construire un fort. L’endroit était marécageux et infesté de moustiques, il était difficile de trouver de l’eau potable et il fallait se méfier des ouragans. Finalement il identifia une élévation du côté nord-est de la baie de Biloxi (aujourd’hui : « Ocean Springs », état du Mississippi). La ville actuelle de « Biloxi » (aujourd’hui : dans l’état du Mississippi) est située du côté ouest de la baie de Biloxi. Biloxi était le nom d’un groupe d’Amérindiens de la région, appartenant à la famille des Sioux.
Commencée en avril, la construction du fort Maurepas a été achevée, le 1er mai 1699. Trois jours plus tard, Pierre Le Moyne, retournait en France après avoir organisé ainsi la colonie :
Commandant : son cousin, Sauvolle de la Villantry, lieutenant et enseigne de vaisseau;
Second : son jeune frère, Jean Baptiste Le Moyne de Bienville, lieutenant du roi de la garde maritime;
Major du fort : Charles Levasseur, un canadien, militaire d’expérience.
Il laissait une garnison d’environ 70 hommes, qu’il considérait comme ses meilleurs soldats. Il y avait parmi eux, plusieurs canadiens, dont Jean-François Levasseur (1654- ), le frère de Charles.
La vie quotidienne était très difficile : les moustiques étaient envahissants, la nourriture était rationnée, l’eau potable était rare et même le puits du fort donnait une eau susceptible de causer des maladies. Le 2 juillet 1699, à la suite d’une visite surprise au Fort Maurepas, M. de Montigny, missionnaire dans la vallée du Mississippi, confirma la situation difficile des occupants du fort et il nota qu’il y avait trouvé, entre autres, « Les deux messieurs Levasseur dont il y en a un qui est major du fort (3) ». « Le major du fort était Charles Le Vasseur… Le deuxième Le Vasseur… s’appelait Jean-François. Il commandait le navire La Précieuse, le plus grand des deux traversiers de la flottille de d’Iberville (4)».
Le Fort Louis de la Mobile (5) (ou Fort Louis de la Louisiane)
En 1700, il fut question d’établir un nouveau fort, un peu plus à l’est, dans la baie de Mobile. Charles Levasseur partit à la tête d’une expédition chargée de trouver le meilleur emplacement. Il poursuivit sa recherche en 1701 et il choisit finalement l’endroit où il allait construire le Fort Louis de la Mobile : ce serait sur un promontoire d’une vingtaine de pieds, sur la rive droite du fleuve Mobile, près de l’embouchure qui donne sur la baie de Mobile. Le lieu était situé à environ 120 kilomètres à l’est du Fort Maurepas (Biloxi). Au début de 1702, Charles Levasseur dessina lui-même les plans du fort qui devait surplomber le fleuve Mobile ainsi que les plans de la ville qui devait entourer le fort. Le fort était carré avec quatre bastions, les canons étant concentrés aux quatre coins du fort. Charles Levasseur dirigea également les travaux de construction. Le fort impressionnait tout le monde, y compris les Amérindiens à qui on l’a fait visiter. Au cours de l’année 1702, le fort Maurepas de la baie de Biloxi a été détruit pour éviter qu’il soit occupé par des ennemis et le commandement de la colonie de la Louisiane française a été transféré au Fort Louis de la Mobile (Aujourd’hui : dans l’état de l’Alabama).
Malheureusement, deux ans plus tard, lors d’une épidémie, Charles Levasseur est mort de la fièvre jaune, dans le fort qui était son œuvre. C’était le 4 septembre 1704 : il n’avait que 39 ans. Il avait été un militaire d’expérience, un architecte militaire de talent et un explorateur audacieux. Sa mort a été considérée comme une grande perte pour la colonie de la Louisiane.
Jean-Marie Levasseur (033)
Sources pour ce texte :
(1) « Ruessavel » s’obtient en lisant « Levasseur » de droite à gauche : Charles pourrait s’être donné ce surnom lui-même dans sa jeunesse, pour s’amuser ou encore pour se moquer des titres de noblesse. Le surnom aurait ensuite été déformé en Russouelle, Roussouelle, etc.
(2) Voir les documents recueillis par Pierre Margry, dans Découvertes et Établissements des français dans l’ouest et dans le sud de l’Amérique septentrionale (1614-1754), tome 4, Découverte par mer des bouches du Mississippi et Établissements de Lemoyne d’Iberville sur le golfe du Mexique (1694-1703), Paris, Maisonneuve et Cie, 1891. Sur la nomination de Charles Levasseur, voir la lettre du Ministre de la marine (Jérôme Pontchartrain) au sieur d’Iberville, le 25 juin 1698 : « Le sieur Levasseur qui a servi autrefois avec feu M. de la Salle, et en différents emplois dans le Canada, m’ayant demandé à servir, j’ai cru que ce serait un sujet propre à faire la campagne et capable d’y servir utilement. Il faut que vous le fassiez embarquer avec vous pour commander une partie des Canadiens que vous menez, et je me remets à vous de l’employer aux choses auxquelles il paraîtra propre. »
(3) Lettre autographe de l’abbé François de Montigny à Mgr de Saint-Vallier, datée de sa mission des Taensas, le 25 août 1699, dans Noël Baillargeon, Les Missions du Séminaire de Québec dans la vallée du Mississippi, 1698-1699, Québec, Musée de la civilisation, 2002 (en ligne), p. 81.
(4) Ibid., p. 91, note 25 par Noël Baillargeon, avec une référence à Marcel Giraud, Histoire de la Louisiane française, Paris, 1953, 1, p. 21, n. 4 et des références au Rolle des officiers, majors, officiers mariniers, etc…. laissés en garnison par M. d’Iberville au fort Maurepas… AC, C13A, vol. I, f. 209 et f. 219.
(5) Jay Higginbotham, Old Mobile. Fort Louis de la Lousiane, 1702-1711, Mobile, Museum of the city of Mobile, 1977 (Réédition : Tuscaloosa and London, The University of Alabama Press, 1991, 587pp.). On peut remarquer, en ligne, les pages 40-52 sur les débuts de l’établissement. Voir aussi Gilles-Antoine Langlois, Des villes pour la Louisiane française. Théorie et pratique de l’urbanistique coloniale au XVIIIe siècle, Paris, L’Harmattan, 2003 (en partie, en ligne).
1. Note de Natalie Bédard - 14 janvier 2018 (#16965nvier 2018 (#16965)
«soldat de Levasseur» # 84162
=
soldat de ce «Charles levasseur» # 27422
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copié-collé de : militaires.levasseur.org
Charles LEVASSEUR (1665-1704) (J)
Charles Levasseur est né, le 7 avril 1665 à Québec, de Jean Levasseur dit Lavigne — le premier Levasseur à s’être établi en Nouvelle France — et de Marguerite Richard. Charles fut attiré très tôt par la carrière militaire et il recevait ses nominations de Paris où on connaissait sa valeur. On l’appelait parfois « Charles Le Vasseur, sieur de Bagaret », ou, plus souvent, « Charles Le Vasseur de Boussouelle » , ou « Ruessavel »(1) ; dans tous les cas, on le reconnaissait toujours comme un « officier canadien ». Il avait le goût d’explorer le nouveau monde et semblait fasciné par le Mississippi. Après avoir été compagnon de Cavelier de La Salle, dans sa découverte du Mississippi, il a été nommé pour accompagner Pierre Le Moyne, sieur d’Iberville, dans l’établissement de la première colonie française permanente en Louisiane.(2)
Le Fort Maurepas (ou « Vieux Biloxi »)
L’expédition quitta La Rochelle, en septembre 1698, et arriva dans la baie de Biloxi, en février 1699. Le Moyne chercha longtemps un lieu pour construire un fort. L’endroit était marécageux et infesté de moustiques, il était difficile de trouver de l’eau potable et il fallait se méfier des ouragans. Finalement il identifia une élévation du côté nord-est de la baie de Biloxi (aujourd’hui : « Ocean Springs », état du Mississippi). La ville actuelle de « Biloxi » (aujourd’hui : dans l’état du Mississippi) est située du côté ouest de la baie de Biloxi. Biloxi était le nom d’un groupe d’Amérindiens de la région, appartenant à la famille des Sioux.
Commencée en avril, la construction du fort Maurepas a été achevée, le 1er mai 1699. Trois jours plus tard, Pierre Le Moyne, retournait en France après avoir organisé ainsi la colonie :
Commandant : son cousin, Sauvolle de la Villantry, lieutenant et enseigne de vaisseau;
Second : son jeune frère, Jean Baptiste Le Moyne de Bienville, lieutenant du roi de la garde maritime;
Major du fort : Charles Levasseur, un canadien, militaire d’expérience.
Il laissait une garnison d’environ 70 hommes, qu’il considérait comme ses meilleurs soldats. Il y avait parmi eux, plusieurs canadiens, dont Jean-François Levasseur (1654- ), le frère de Charles.
La vie quotidienne était très difficile : les moustiques étaient envahissants, la nourriture était rationnée, l’eau potable était rare et même le puits du fort donnait une eau susceptible de causer des maladies. Le 2 juillet 1699, à la suite d’une visite surprise au Fort Maurepas, M. de Montigny, missionnaire dans la vallée du Mississippi, confirma la situation difficile des occupants du fort et il nota qu’il y avait trouvé, entre autres, « Les deux messieurs Levasseur dont il y en a un qui est major du fort (3) ». « Le major du fort était Charles Le Vasseur… Le deuxième Le Vasseur… s’appelait Jean-François. Il commandait le navire La Précieuse, le plus grand des deux traversiers de la flottille de d’Iberville (4)».
Le Fort Louis de la Mobile (5) (ou Fort Louis de la Louisiane)
En 1700, il fut question d’établir un nouveau fort, un peu plus à l’est, dans la baie de Mobile. Charles Levasseur partit à la tête d’une expédition chargée de trouver le meilleur emplacement. Il poursuivit sa recherche en 1701 et il choisit finalement l’endroit où il allait construire le Fort Louis de la Mobile : ce serait sur un promontoire d’une vingtaine de pieds, sur la rive droite du fleuve Mobile, près de l’embouchure qui donne sur la baie de Mobile. Le lieu était situé à environ 120 kilomètres à l’est du Fort Maurepas (Biloxi). Au début de 1702, Charles Levasseur dessina lui-même les plans du fort qui devait surplomber le fleuve Mobile ainsi que les plans de la ville qui devait entourer le fort. Le fort était carré avec quatre bastions, les canons étant concentrés aux quatre coins du fort. Charles Levasseur dirigea également les travaux de construction. Le fort impressionnait tout le monde, y compris les Amérindiens à qui on l’a fait visiter. Au cours de l’année 1702, le fort Maurepas de la baie de Biloxi a été détruit pour éviter qu’il soit occupé par des ennemis et le commandement de la colonie de la Louisiane française a été transféré au Fort Louis de la Mobile (Aujourd’hui : dans l’état de l’Alabama).
Malheureusement, deux ans plus tard, lors d’une épidémie, Charles Levasseur est mort de la fièvre jaune, dans le fort qui était son œuvre. C’était le 4 septembre 1704 : il n’avait que 39 ans. Il avait été un militaire d’expérience, un architecte militaire de talent et un explorateur audacieux. Sa mort a été considérée comme une grande perte pour la colonie de la Louisiane.
Jean-Marie Levasseur (033)
Sources pour ce texte :
(1) « Ruessavel » s’obtient en lisant « Levasseur » de droite à gauche : Charles pourrait s’être donné ce surnom lui-même dans sa jeunesse, pour s’amuser ou encore pour se moquer des titres de noblesse. Le surnom aurait ensuite été déformé en Russouelle, Roussouelle, etc.
(2) Voir les documents recueillis par Pierre Margry, dans Découvertes et Établissements des français dans l’ouest et dans le sud de l’Amérique septentrionale (1614-1754), tome 4, Découverte par mer des bouches du Mississippi et Établissements de Lemoyne d’Iberville sur le golfe du Mexique (1694-1703), Paris, Maisonneuve et Cie, 1891. Sur la nomination de Charles Levasseur, voir la lettre du Ministre de la marine (Jérôme Pontchartrain) au sieur d’Iberville, le 25 juin 1698 : « Le sieur Levasseur qui a servi autrefois avec feu M. de la Salle, et en différents emplois dans le Canada, m’ayant demandé à servir, j’ai cru que ce serait un sujet propre à faire la campagne et capable d’y servir utilement. Il faut que vous le fassiez embarquer avec vous pour commander une partie des Canadiens que vous menez, et je me remets à vous de l’employer aux choses auxquelles il paraîtra propre. »
(3) Lettre autographe de l’abbé François de Montigny à Mgr de Saint-Vallier, datée de sa mission des Taensas, le 25 août 1699, dans Noël Baillargeon, Les Missions du Séminaire de Québec dans la vallée du Mississippi, 1698-1699, Québec, Musée de la civilisation, 2002 (en ligne), p. 81.
(4) Ibid., p. 91, note 25 par Noël Baillargeon, avec une référence à Marcel Giraud, Histoire de la Louisiane française, Paris, 1953, 1, p. 21, n. 4 et des références au Rolle des officiers, majors, officiers mariniers, etc…. laissés en garnison par M. d’Iberville au fort Maurepas… AC, C13A, vol. I, f. 209 et f. 219.
(5) Jay Higginbotham, Old Mobile. Fort Louis de la Lousiane, 1702-1711, Mobile, Museum of the city of Mobile, 1977 (Réédition : Tuscaloosa and London, The University of Alabama Press, 1991, 587pp.). On peut remarquer, en ligne, les pages 40-52 sur les débuts de l’établissement. Voir aussi Gilles-Antoine Langlois, Des villes pour la Louisiane française. Théorie et pratique de l’urbanistique coloniale au XVIIIe siècle, Paris, L’Harmattan, 2003 (en partie, en ligne).
2. Internet - Recensement de 1667 en Nouvelle-France, référant au tome IV, chapitre IV du livre Histoire des Canadiens-Français de Benjamin Sulte, compilé par Jean-Guy Sénécal (senecal@fmed.ulaval.ca) le 17 mars 1998.
3. Internet - Recensement de 1666 en Nouvelle-France, référant au tome IV, chapitre IV du livre Histoire des Canadiens-Français de Benjamin Sulte, compilé par Jean-Guy Sénécal (senecal@fmed.ulaval.ca) le 17 mars 1998.
4. Internet - Recensement de 1681 en Nouvelle-France, référant au chapitre IV du livre Histoire des Canadiens-Français de Benjamin Sulte, compilé par Jean-Guy Sénécal (senecal@gel.ulaval.ca) le 17 mars 1998.
5. Tanguay - Volume 1, p. 391
6. Internet - Recensement de 1681 en Nouvelle-France, référant au chapitre IV du livre Histoire des Canadiens-Français de Benjamin Sulte, compilé par Jean-Guy Sénécal (senecal@gel.ulaval.ca) le 17 mars 1998. Âgé de 17 ans.
7. Internet - Recensement de 1666 en Nouvelle-France, référant au tome IV, chapitre IV du livre Histoire des Canadiens-Français de Benjamin Sulte, compilé par Jean-Guy Sénécal (senecal@fmed.ulaval.ca) le 17 mars 1998. Âgé de 10 mois
8. Internet - Recensement de 1667 en Nouvelle-France, référant au tome IV, chapitre IV du livre Histoire des Canadiens-Français de Benjamin Sulte, compilé par Jean-Guy Sénécal (senecal@fmed.ulaval.ca) le 17 mars 1998. Âgé de 3 ans.
9. Internet - Recensement de 1667 en Nouvelle-France, référant au tome IV, chapitre IV du livre Histoire des Canadiens-Français de Benjamin Sulte, compilé par Jean-Guy Sénécal (senecal@fmed.ulaval.ca) le 17 mars 1998,
10. Tanguay - Volume 1, p. 465
11. Tanguay - Volume 1, p. 169
12. Tanguay - Volume 1, p. 480
La dernière mise à jour de cette personne a été faite le 2018-01-17